La science-fiction est créditée d’une vertu performative. Quelques controverses ont jalonné l’histoire de cette instrumentalisation de la science-fiction, et peuvent nourrir la réflexion. On sera surtout attentive à son fonctionnement narratif et cognitif. Chapitrage 00:00 Présentation 02:38 Performativité dans le théâtre de science-fiction 04:50 Littérature et performativité (programme du séminaire) 06:03 Performativité dans le roman à thèse, les littératures de jeunesse, les littératures édifiantes 27:12 Performativité de la Red Team: problèmes logiques et éthiques 31:39 Performativité officielle et littératures des prospectivistes 33:08 SF d’extrême-droite, d’extrême-gauche, et Red Team 35:18 Performativité de l’utopie et de la SF soviétique 54:02 La science-fiction pour changer le monde ? Etats-Unis, 1973 57:46 La science-fiction pour changer le monde ? France, 1975 01:00:00 Performativité, narrativité et abduction : la détachabilité des composants de la SF (du roman d’anticipation à Witnesspédia en passant par le débat avec Y. Rumpala) 01:15:00 À propos de La Supplication d’Alexievitch 01:17:10 À propos du cyberpunk selon Jameson 01:20:39 Question d’A. Goudmand sur la légitimité institutionnelle 01:26:00 Question de R. Saint-Gelais : univocité ou incomplétude de la fiction ? 01:33:45 Question de J. Pier (1) : comment mesurer la performativité littéraire ? 01:38:48 Question de J. Pier (2) sur les théories de la réception 01:43:59 Question d’O. Caïra (1) sur la détachabilité des composants de la SF 01:51:44 Question d’O. Caïra (2) : performativité intensive / extensive