Revisiting "Medusa's Ankles" in the light of the 2018 film adaptation - Université Paris-Est-Créteil-Val-de-Marne
Article Dans Une Revue Journal of The Short Story in English / Les Cahiers de la nouvelle Année : 2021

Revisiting "Medusa's Ankles" in the light of the 2018 film adaptation

Résumé

In Intertextualité dans l’œuvre d’A. S. Byatt (2003), I analysed The Matisse Stories in terms of intersemiocity, exploring how this text exploits the paintings and engravings to which it refers, and with which it is illustrated. I explored the relationship between the verbal and the non-verbal, a major thread in Byatt’s work since the second novel in the tetralogy, Still Life (1985), and traced it through two central Byattian questions: what are words, and, can the need for words be overcome? I also read Susannah’s experience in “Medusa’s Ankles” in terms of metamorphosis, another central preoccupation of Byatt’s fiction, comparing her with the Victorian governess Matty Crompton in “Morpho Eugenia” (1992). Matty’s wish to reveal her “real self” is finally granted, supported by many intertextual permutations in the intercalated texts contained in this novella. The present contribution moves on from my earlier interpretations by analysing “Medusa’s Ankles” in the parallel with its film adaptation (Bonnie Wright, 2018). How does the film version interpret and question the original text? What does it elide or gloss over, what does it bring out, and to what ends? Theories of film adaptation are deployed to examine the complex relationship between the original text and the film version, and to this end this article references the work of major critics in the area, such as George Bluestone, Linda Constanzo Cahir, Linda Hutcheon, Thomas Leitch and Yvonne Griggs.
Dans Intertextualité dans l’œuvre d’A. S. Byatt (2003), j’ai analysé The Matisse Stories en termes d’intersémiocité, en montrant comment ce texte exploite les peintures et les gravures auxquelles il fait référence, et avec lesquelles il est illustré. J’ai exploré la relation entre le verbal et le non-verbal, un fil conducteur dans l’œuvre de Byatt depuis le deuxième roman de la tétralogie, Still Life (1985), et j’ai retracé deux questions centrales chez Byatt : que sont les mots, et le besoin de mots peut-il être surmonté ? J’ai également lu l’expérience de Susannah dans “Medusa’s Ankles” sous l’angle de la métamorphose, une autre préoccupation centrale chez Byatt. La présente contribution diffère de mes interprétations précédentes en analysant “Medusa’s Ankles” en un parallèle avec son adaptation cinématographique (Bonnie Wright, 2018). Comment la version cinématographique interprète-t-elle et remet-elle en question le texte original ? Qu’élide ou que passe-t-elle sous silence ? Que fait-elle ressortir, et à quelles fins ? Les théories de l’adaptation cinématographique sont ici déployées afin d’examiner la relation complexe entre le texte original et la version cinématographique. À cette fin, référence est faite aux travaux des principaux critiques dans ce domaine, tels que George Bluestone, Linda Constanzo Cahir, Linda Hutcheon, Thomas Leitch et Yvonne Griggs.

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Citer

Helen Mundler. Revisiting "Medusa's Ankles" in the light of the 2018 film adaptation. Journal of The Short Story in English / Les Cahiers de la nouvelle, 2021, 76, pp. 185-201. ⟨hal-04080978⟩

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